Le Pagure des rochers
Clibanarius erythropus (Latreille, 1818)
Femelle : de 3,5 à 10 mm
Mâle : de 3,5 à 6,5 mm
?
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Espèce non protégée.
(MAJ le 12/12/22)
Espèce non inscrite sur une Liste Rouge.
(MAJ le 12/12/22)
« Le pagure des rochers se rencontre à très faible profondeur dans les zones rocheuses, les herbiers de zostères et de posidonies, sous les gros blocs. Il est également présent en milieu lagunaire. » doris.ffessm.fr
« Le pagure des rochers vit sur des fonds rocheux, dans des herbiers en mer et en milieu lagunaire, au niveau de l’étage médiolittoral et de l’étage infralittoral. » inpn.mnhn.fr
« Espèce opportuniste : carnivore, microphage, ou encore nécrophage. » doris.ffessm.fr
« C. erythropus se nourrit de « débris organiques, de macro-algues pourries et fraîches avec une faune et une flore algale épiphytes associées, de petits invertébrés et des morceaux macroscopiques de tissus animaux morts et vivants ». » en.wikipedia.org
(gbif.org, le 12/12/2023)
Maturité sexuelle
x
Ponte
x
Nombre d’œufs
x
« Les femelles ovigères (portant ses œufs) est visible de mai à septembre. […] Le développement larvaire comporte quatre stades zoé et une mégalope. » inpn.mnhn.fr
La taille.
« Ce pagure est parasité par un rhizocéphale et trois espèces d’isopodes épicarides ; il est également associé à des polychètes et à des ciliés. » inpn.mnhn.fr
« Il habite souvent dans des coquilles de Phorcus, de Gibbula, de Nassarius, d’Ocenebra, de cérithidés… adaptées à sa petite taille. Au fur et à mesure de sa croissance, il doit changer de coquille pour une plus grande. Ce moment délicat et plein de risques est précédé d’une étude attentive de la nouvelle coquille. » doris.ffessm.fr